Evolution des performances de l'irrigation en riziculture et extension des cultures de contre saison à l'Office du Niger
L'Office du Niger a connu un fort développement au cours de ces 10 dernières années, les surfaces en riziculture irriguée passant de 50 000 à 90 000 ha en hivernage alors que celles de contre-saison bondissaient de 2 500 à 21 000 ha. Cet article analyse l'évolution des performances de l'irrigation en contre-saison à différents niveaux du réseau, en particulier pour la riziculture. Il combine l'analyse des suivis de la gestion de l'eau des grands adducteurs, des réseaux primaires et secondaires et une modélisation de la conduite de l'irrigation sur 5 arroseurs (tertiaires). Il montre, malgré une amélioration de l'efficacité de transport au niveau des grands adducteurs due à l'augmentation des surfaces irriguées, la nécessité d'améliorer la gestion de l'eau au niveau tertiaire pour permettre la poursuite du développement des cultures de contre-saison.
| Main Authors: | , , , , |
|---|---|
| Format: | article biblioteca |
| Language: | fre |
| Subjects: | F06 - Irrigation, F08 - Systèmes et modes de culture, P40 - Météorologie et climatologie, riz irrigué, Oryza, irrigation, culture de contre-saison, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_15724, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_5435, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_3954, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_32499, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_4540, |
| Online Access: | http://agritrop.cirad.fr/591017/ http://agritrop.cirad.fr/591017/1/Cahier%20no24_4_Tangara%20B%20et%20al.pdf |
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| Summary: | L'Office du Niger a connu un fort développement au cours de ces 10 dernières années, les surfaces en riziculture irriguée passant de 50 000 à 90 000 ha en hivernage alors que celles de contre-saison bondissaient de 2 500 à 21 000 ha. Cet article analyse l'évolution des performances de l'irrigation en contre-saison à différents niveaux du réseau, en particulier pour la riziculture. Il combine l'analyse des suivis de la gestion de l'eau des grands adducteurs, des réseaux primaires et secondaires et une modélisation de la conduite de l'irrigation sur 5 arroseurs (tertiaires). Il montre, malgré une amélioration de l'efficacité de transport au niveau des grands adducteurs due à l'augmentation des surfaces irriguées, la nécessité d'améliorer la gestion de l'eau au niveau tertiaire pour permettre la poursuite du développement des cultures de contre-saison. |
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