Etude de la fertilisation et de l'absorption minérale en culture de tomate hors-sol à la Réunion : Tomates sous abris
Sur l'île de la Réunion, la culture de tomate hors-sol s'est développée en raison de la présence sur l'île du flétrissement bactérien dont l'agent vecteur est la bactérie #Ralstonia solanacearum et qui présente dans le sol empêche toute culture de tomate si on n'utilise pas de variétés très tolérantes. La culture hors-sol demande une bonne maîtrise de la fertirrigation. Les solutions nutritives utilisées doivent apporter à la plante ce dont elle a besoin pour son développement. Or sur l'île, les solutions utilisées sont issues de préconisation métropolitaine qui ont été adaptées de façon empirique sans véritables moyens objectifs de contrôle de la nutrition. Les producteurs ont connu des problèmes culturaux sans doute causés par des problèmes de fertilisation. Ainsi pour progresser sur la nutrition, il nous fallait développer des méthodes objectives d'analyses en vue de mieux comprendre l'absorption minérale dans nos conditions de culture en allant plus loin qu'un simple contrôle des eaux d'apport et de drainage afin de pouvoir vérifier si les solutions nutritives utilisées jusqu'alors étaient bien adaptées pour une nutrition optimale de la plante. Voilà pourquoi une étude fertilisation a été lancée sur plusieurs cycles de culture (saison fraîche et saison chaude) dans les bas de l'île (200 m d'altitude).[résumé d'auteur]
| Main Authors: | , |
|---|---|
| Format: | monograph biblioteca |
| Language: | fre |
| Published: |
CIRAD-FLHOR
|
| Subjects: | F02 - Multiplication végétative des plantes, |
| Online Access: | http://agritrop.cirad.fr/531302/ |
| Tags: |
Add Tag
No Tags, Be the first to tag this record!
|
| Summary: | Sur l'île de la Réunion, la culture de tomate hors-sol s'est développée en raison de la présence sur l'île du flétrissement bactérien dont l'agent vecteur est la bactérie #Ralstonia solanacearum et qui présente dans le sol empêche toute culture de tomate si on n'utilise pas de variétés très tolérantes. La culture hors-sol demande une bonne maîtrise de la fertirrigation. Les solutions nutritives utilisées doivent apporter à la plante ce dont elle a besoin pour son développement. Or sur l'île, les solutions utilisées sont issues de préconisation métropolitaine qui ont été adaptées de façon empirique sans véritables moyens objectifs de contrôle de la nutrition. Les producteurs ont connu des problèmes culturaux sans doute causés par des problèmes de fertilisation. Ainsi pour progresser sur la nutrition, il nous fallait développer des méthodes objectives d'analyses en vue de mieux comprendre l'absorption minérale dans nos conditions de culture en allant plus loin qu'un simple contrôle des eaux d'apport et de drainage afin de pouvoir vérifier si les solutions nutritives utilisées jusqu'alors étaient bien adaptées pour une nutrition optimale de la plante. Voilà pourquoi une étude fertilisation a été lancée sur plusieurs cycles de culture (saison fraîche et saison chaude) dans les bas de l'île (200 m d'altitude).[résumé d'auteur] |
|---|