Amélioration de la productivité des rizières acides de mangrove en Guinée au moyen d'un amendement calcaire coquillier

En Guinée, les efforts d'intensification de l'agriculture s'appuient notamment sur les ressources qu'offre la mangrove, qui couvre environ 380 000 ha. A côté de l'exploitation du bois de palétuvier, de la fabrication de sel et, plus récemment, de l'aquaculture, la riziculture y reste la principale activité. Son développement est toutefois conditionné par la maîtrise de l'acidification des sols. Si le chaulage est la solution à ce type de déséquilibre du milieu, les conditions d'utilisation de la chaux industrielle en Guinée sont incompatibles avec, d'une part, les critères de rentabilité économique (rendement moyen des rizières de l'ordre de 2,5 t/ha), d'autre part les possibilités financières de la plupart des paysans.

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Main Authors: Sow, Mounirou, Barry, Mamadou Billo
Format: conference_item biblioteca
Language:fre
Published: CIRAD
Subjects:F04 - Fertilisation, riz inondé, mangrove, productivité des terres, fertilité du sol, amendement calcique, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_2979, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_4577, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_4176, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_7170, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_200, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_3423,
Online Access:http://agritrop.cirad.fr/468017/
http://agritrop.cirad.fr/468017/1/ID468017.pdf
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Description
Summary:En Guinée, les efforts d'intensification de l'agriculture s'appuient notamment sur les ressources qu'offre la mangrove, qui couvre environ 380 000 ha. A côté de l'exploitation du bois de palétuvier, de la fabrication de sel et, plus récemment, de l'aquaculture, la riziculture y reste la principale activité. Son développement est toutefois conditionné par la maîtrise de l'acidification des sols. Si le chaulage est la solution à ce type de déséquilibre du milieu, les conditions d'utilisation de la chaux industrielle en Guinée sont incompatibles avec, d'une part, les critères de rentabilité économique (rendement moyen des rizières de l'ordre de 2,5 t/ha), d'autre part les possibilités financières de la plupart des paysans.