Contribution à l'étude de la biologie florale du cacaoyer : bilan de pollinisations artificielles

Etude, réalisée en Côte d'Ivoire, du comportement de cacaoyers Haut-Amazoniens et Amelonado soumis à un régime constant de pollinisations manuelles pendant plus d'un an. On utilise un pollen de bonne qualité en quantité abondante. L'analyse du taux de nouaison montre que le cacaoyer est apte à fructifier toute l'année. L'analyse de la courbe de fréquence du nombre de graines par cabosse démontre que le remplissage des fruits est directement lié à la charge de pollen déposée sur les styles des fleurs. Malgré un taux de nouaison élevé, il n'y a qu'un faible pourcentage de cabosses récoltées; ces pertes sont surtout dues aux attaques des insectes et au Phytophthora; le phénomène de "wilt" physiologique est souvent surestimé. Les 120 j qui suivent la nouaison constituent la période critique pour les chérelles

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Bibliographic Details
Main Author: Paulin, Didier
Format: article biblioteca
Language:fre
Subjects:F63 - Physiologie végétale - Reproduction, Theobroma cacao, fécondation, fructification, méthode statistique, perte de récolte, chute de fruit, pollinisation artificielle, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_7713, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_2863, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_15971, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_7377, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_1969, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_16184, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_36531, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_4027,
Online Access:http://agritrop.cirad.fr/402039/
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Description
Summary:Etude, réalisée en Côte d'Ivoire, du comportement de cacaoyers Haut-Amazoniens et Amelonado soumis à un régime constant de pollinisations manuelles pendant plus d'un an. On utilise un pollen de bonne qualité en quantité abondante. L'analyse du taux de nouaison montre que le cacaoyer est apte à fructifier toute l'année. L'analyse de la courbe de fréquence du nombre de graines par cabosse démontre que le remplissage des fruits est directement lié à la charge de pollen déposée sur les styles des fleurs. Malgré un taux de nouaison élevé, il n'y a qu'un faible pourcentage de cabosses récoltées; ces pertes sont surtout dues aux attaques des insectes et au Phytophthora; le phénomène de "wilt" physiologique est souvent surestimé. Les 120 j qui suivent la nouaison constituent la période critique pour les chérelles