Equations de croissance du chêne de Mongolie. Quercus mongolica Fisch. et Turcz

Bien que les futaies de chêne de Mongolie couvrent une grande partie des forêts secondaires de la province de Heilongjiang, les forestiers manquent d'informations sur leur production. La présente étude vise à combler cette lacune. La fonction de Chapman-Richards fournit le meilleur ajustement pour la croissance en hauteur individuelle, en diamètre à 1,3 m et en hauteur dominante. Le modèle moyen de croissance en hauteur dominante est utilisé comme courbe de référence pour construire un faisceau de courbes de croissance indicées par la fertilité. La précision de ce modèle est partiellement validée au moyen d'un jeu de données indépendantes. Ces résultats préliminaires permettent d'illustrer ce qui peut être fait, en l'absence de données longitudinales, afin de décrire et de prédire la croissance d'une espèce pour laquelle on manque de références

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Bibliographic Details
Main Authors: Changsheng, L., Houllier, François, Meng, L.
Format: article biblioteca
Language:fre
Subjects:F62 - Physiologie végétale - Croissance et développement, K10 - Production forestière, Quercus mongolica, croissance, mesure (activité), production forestière, méthode, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_33848, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_3394, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_4668, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_3061, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_4788, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_1556,
Online Access:http://agritrop.cirad.fr/400056/
http://agritrop.cirad.fr/400056/1/document_400056.pdf
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Description
Summary:Bien que les futaies de chêne de Mongolie couvrent une grande partie des forêts secondaires de la province de Heilongjiang, les forestiers manquent d'informations sur leur production. La présente étude vise à combler cette lacune. La fonction de Chapman-Richards fournit le meilleur ajustement pour la croissance en hauteur individuelle, en diamètre à 1,3 m et en hauteur dominante. Le modèle moyen de croissance en hauteur dominante est utilisé comme courbe de référence pour construire un faisceau de courbes de croissance indicées par la fertilité. La précision de ce modèle est partiellement validée au moyen d'un jeu de données indépendantes. Ces résultats préliminaires permettent d'illustrer ce qui peut être fait, en l'absence de données longitudinales, afin de décrire et de prédire la croissance d'une espèce pour laquelle on manque de références