Contribution à l'explication de la variabilité du rendement d'une culture de maïs plus ou moins intensifiée à l'aide d'un modèle de bilan hydrique amélioré

Alors que les économistes préconisent une augmentation massive des productions vivrières, les agronomes de terrain étudient les rendements possibles en fonction des conditions pédoclimatiques. A cet effet sont commentés les indicateurs de "rendement espéré" (IRESP1 et 2). La modélisation se prête à l'analyse du bilan hydrique comme facteur du rendement : il s'agit d'évaluer le risque lié à l'intensification des cultures. Le modèle SARRA (Système d'Analyse Régionale des Risques Agroclimatiques) est présenté, centré sur la maïs au Burkina Faso et au Mali. Des études similaires existent sur arachide, riz pluvial, sorgho, cotonnier. Les auteurs ne perdent pas de vue, toutefois, l'intérêt d'une étude économique des techniques recommandées : coût du mm. d'eau lié à l'unité fertilisante

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Bibliographic Details
Main Authors: Forest, Francis, Clopes, Alain
Format: conference_item biblioteca
Language:fre
Published: John Libbey
Subjects:P40 - Météorologie et climatologie, maïs, Zea mays, rendement, résistance à la sécheresse, intensification, facteur climatique, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_12332, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_8504, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_8488, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_2392, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_33485, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_29554, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_6970,
Online Access:http://agritrop.cirad.fr/386951/
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Description
Summary:Alors que les économistes préconisent une augmentation massive des productions vivrières, les agronomes de terrain étudient les rendements possibles en fonction des conditions pédoclimatiques. A cet effet sont commentés les indicateurs de "rendement espéré" (IRESP1 et 2). La modélisation se prête à l'analyse du bilan hydrique comme facteur du rendement : il s'agit d'évaluer le risque lié à l'intensification des cultures. Le modèle SARRA (Système d'Analyse Régionale des Risques Agroclimatiques) est présenté, centré sur la maïs au Burkina Faso et au Mali. Des études similaires existent sur arachide, riz pluvial, sorgho, cotonnier. Les auteurs ne perdent pas de vue, toutefois, l'intérêt d'une étude économique des techniques recommandées : coût du mm. d'eau lié à l'unité fertilisante