Enjeux fonciers dans la zone cotonnière du Cameroun. n°2
L'observatoire du Foncier n°2 porte à nouveau sur la zone du bassin cotonnier du Nord-Cameroun : les piémonts orientaux des Monts Mandara, la région de Maroua et les plaines de la Bénoué. Il a permis de suivre un certain nombre d'affaires, initiées dès 1997 (Foncier n°1), dont la chronique n'aurait pas apporté d'éléments nouveaux en 1998. Nous nous sommes appliqué à développer d'autres facettes de cette question économico-sociale, devenue essentielle pour le Nord-Cameroun. Il n'est pas envisageable de documenter les affaires foncières sans entrer dans l'histoire locale. L'imbroglio des situations, la qualité des acteurs doivent être connus pour éclairer certaines argumentations, les dénouements comme les rebondissements. Le côté " événementiel " ne peut donc être écarté, il reste le seul moyen de dégager des analyses en première lecture avant de sérier des tendances plus générales. Si nous prenons le risque de développer l'événementiel, c'est aussi pour rendre compte de la perception que les intéressés ont de la chose foncière et pour faire ressortir certains éléments qui sont de l'ordre du détail révélateur.
| Main Authors: | , |
|---|---|
| Format: | monograph biblioteca |
| Language: | fre |
| Published: |
DPGT
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| Subjects: | E11 - Économie et politique foncières, E51 - Population rurale, mode de faire-valoir, droit coutumier, gestion foncière, migration, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_7669, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_10222, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_24866, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_4822, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_1229, |
| Online Access: | http://agritrop.cirad.fr/264130/ http://agritrop.cirad.fr/264130/1/ID264130.pdf |
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| Summary: | L'observatoire du Foncier n°2 porte à nouveau sur la zone du bassin cotonnier du Nord-Cameroun : les piémonts orientaux des Monts Mandara, la région de Maroua et les plaines de la Bénoué. Il a permis de suivre un certain nombre d'affaires, initiées dès 1997 (Foncier n°1), dont la chronique n'aurait pas apporté d'éléments nouveaux en 1998. Nous nous sommes appliqué à développer d'autres facettes de cette question économico-sociale, devenue essentielle pour le Nord-Cameroun. Il n'est pas envisageable de documenter les affaires foncières sans entrer dans l'histoire locale. L'imbroglio des situations, la qualité des acteurs doivent être connus pour éclairer certaines argumentations, les dénouements comme les rebondissements. Le côté " événementiel " ne peut donc être écarté, il reste le seul moyen de dégager des analyses en première lecture avant de sérier des tendances plus générales. Si nous prenons le risque de développer l'événementiel, c'est aussi pour rendre compte de la perception que les intéressés ont de la chose foncière et pour faire ressortir certains éléments qui sont de l'ordre du détail révélateur. |
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