Pas chauds pour la vie sauvage

L’afflux de touristes et d’investisseurs étrangers dans les réserves naturelles d’Afrique australe ne profite pas aux communautés locales. Les éleveurs qui se sont reconvertis dans le tourisme ont besoin d’une formation pour bien gérer et conserver le patrimoine naturel, et la création d’un réseau vétérinaire pour les animaux sauvages s’impose aussi. Telles sont les conclusions d’une visite d’étude que le CTA a organisée au Botswana et en Afrique du Sud en octobre 2000.

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Bibliographic Details
Main Author: Technical Centre for Agricultural and Rural Cooperation
Format: News Item biblioteca
Language:French
Published: Technical Centre for Agricultural and Rural Cooperation 2001
Online Access:https://hdl.handle.net/10568/62529
https://hdl.handle.net/10568/99664
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