Quelle forme de gouvernance pour un service efficace à l'agriculture en Afrique ?

Vue sous l'angle de politiques appropriées, on peut mieux appréhender la mondialisation si on l'envisage en tant que phénomène essentiellement micro-économique, dont les forces motrices sont le comportement et les stratégies des entreprises, même si la mondialisation financière et des échanges au niveau macro-économique jouent un rôle considérable. Certes, la déréglementation des marchés, l'émergence et la diffusion des nouvelles technologies de l'information et la globalisation des marchés financiers ont contribué, et contribuent encore, de façon décisive, à stimuler la mondialisation depuis plusieurs décennies. Mais le véritable moteur de ce processus réside aujourd'hui dans la maturation et la diffusion internationale de nouveaux modes d'organisation à l'intérieur même des entreprises. Les gains de compétitivité qu'ils permettent ont cependant provoqué une crise du système de production de type fordien ou taylorien.