Ecuador. Palma africana. Palmeras del Ecuador, Palmeras de las Andes. Visite amélioration du 8 février au 3 mars 2000

La mission s'est déroulée du 8 février au 3 mars 2000. Durant cette mission trois essais ont été mis en place pour évaluer en replantation (49,8 ha) et en extension ( 39,1 ha) la résistance aux pourritures du coeur de 43 croisements Elaeis guineensis. Ces essais devraient permettre de sélectionner les matériels qui pourront être utilisés pour les futures extensions et, si la résistance se révèle suffisante, en replantation. L'étude des essais déjà en place permet de confirmer l'existence de différences entre les catégories de semences. Celles-ci sont toutefois insuffisantes pour être utilisées en replantation. Les résultats des observations sur les hybrides interspécifiques confirment la bonne valeur agronomique de ces hybrides qui obtiennent une excellente production de régimes mais en indiquent également les facteurs limitants. Le taux d'extraction reste faible en raison de la fertilité partielle de ces hybrides. Cette fertilité peut varier beaucoup selon le type d'hybride. La pollinisation reste le problème le plus difficile à résoudre et dans un premier temps seule la pollinisation assistée peut permettre d'assurer le maintien de cette bonne production de régimes. Il est proposé d'installer de nouveaux essais hybrides afin de rechercher parmi d'autres origines des hybrides plus fertiles que ceux testés actuellement. La germination obtenue à Quinindé est bonne mais il faut s'assurer que toutes les recommandations sont suivies à toutes les étapes du procédé. Il n'a pas été possible de déterminer les raisons de la mauvaise germination de certains lots de graines. L'hypothèse de la moins bonne qualité des sacs au départ a été émise mais sans que cela puisse être confirmé.

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Bibliographic Details
Main Author: Amblard, Philippe
Format: monograph biblioteca
Language:fre
Published: CIRAD-CP
Subjects:F30 - Génétique et amélioration des plantes, H20 - Maladies des plantes, Elaeis guineensis, Elaeis oleifera, hybride f1, amélioration des plantes, résistance aux maladies, pourriture, replantation, épreuve sur la descendance, expérimentation au champ, marqueur génétique, vigueur hybride, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_2509, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_1904, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_3159, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_5956, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_2328, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_6667, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_13811, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_6216, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_33990, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_24030, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_3705, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_2485,
Online Access:http://agritrop.cirad.fr/263855/
http://agritrop.cirad.fr/263855/1/ID263855.pdf
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Description
Summary:La mission s'est déroulée du 8 février au 3 mars 2000. Durant cette mission trois essais ont été mis en place pour évaluer en replantation (49,8 ha) et en extension ( 39,1 ha) la résistance aux pourritures du coeur de 43 croisements Elaeis guineensis. Ces essais devraient permettre de sélectionner les matériels qui pourront être utilisés pour les futures extensions et, si la résistance se révèle suffisante, en replantation. L'étude des essais déjà en place permet de confirmer l'existence de différences entre les catégories de semences. Celles-ci sont toutefois insuffisantes pour être utilisées en replantation. Les résultats des observations sur les hybrides interspécifiques confirment la bonne valeur agronomique de ces hybrides qui obtiennent une excellente production de régimes mais en indiquent également les facteurs limitants. Le taux d'extraction reste faible en raison de la fertilité partielle de ces hybrides. Cette fertilité peut varier beaucoup selon le type d'hybride. La pollinisation reste le problème le plus difficile à résoudre et dans un premier temps seule la pollinisation assistée peut permettre d'assurer le maintien de cette bonne production de régimes. Il est proposé d'installer de nouveaux essais hybrides afin de rechercher parmi d'autres origines des hybrides plus fertiles que ceux testés actuellement. La germination obtenue à Quinindé est bonne mais il faut s'assurer que toutes les recommandations sont suivies à toutes les étapes du procédé. Il n'a pas été possible de déterminer les raisons de la mauvaise germination de certains lots de graines. L'hypothèse de la moins bonne qualité des sacs au départ a été émise mais sans que cela puisse être confirmé.