La fumure potassique du palmier à huile au Dahomey
Exposé des résultats obtenus en matière de fumure potassique sur les essais du réseau expérimental mis en place par l'IRHO au sein des palmeraies industrielles de la SO NA DE R du Dahomey. Les apports croissants de KCl, s'ils augmentent la richesse en K des feuilles, ne permettent cependant pas d'atteindre la teneur de 1 p. 100, chiffre habituellement retenu comme niveau critique. De même, à l'amélioration ainsi obtenue de la nutrition potassique ne correspond pas un accroissement proportionnel des productions, par ailleurs très variable d'une campagne à l'autre. Il est montré que ces résultats sont à imputer aux déficits hydriques, très élevés certaines années, qui influent à la fois sur la phase de sexualisation et donc limitent la production potentielle ultérieure des arbres (décalage de 28 mois) et sur le niveau d'assimilation de la potasse abaissant ainsi le niveau optimal à retenir. De ces observations sont tirés des enseignements pratiques pour une politique d'économie de la fumure potassique
Main Authors: | , |
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Format: | article biblioteca |
Language: | fre |
Subjects: | Elaeis guineensis, nutrition des plantes, engrais potassique, déficit d'humidité du sol, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_2509, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_16379, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_6138, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_25307, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_875, |
Online Access: | http://agritrop.cirad.fr/440104/ http://agritrop.cirad.fr/440104/1/ID440104.pdf |
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Summary: | Exposé des résultats obtenus en matière de fumure potassique sur les essais du réseau expérimental mis en place par l'IRHO au sein des palmeraies industrielles de la SO NA DE R du Dahomey. Les apports croissants de KCl, s'ils augmentent la richesse en K des feuilles, ne permettent cependant pas d'atteindre la teneur de 1 p. 100, chiffre habituellement retenu comme niveau critique. De même, à l'amélioration ainsi obtenue de la nutrition potassique ne correspond pas un accroissement proportionnel des productions, par ailleurs très variable d'une campagne à l'autre. Il est montré que ces résultats sont à imputer aux déficits hydriques, très élevés certaines années, qui influent à la fois sur la phase de sexualisation et donc limitent la production potentielle ultérieure des arbres (décalage de 28 mois) et sur le niveau d'assimilation de la potasse abaissant ainsi le niveau optimal à retenir. De ces observations sont tirés des enseignements pratiques pour une politique d'économie de la fumure potassique |
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