Polinizacion entomofila de la palma africana en América tropical

Le présent travail fait le point de la situation de la pollinisation du palmier à huile en Amérique tropicale. La morphologie et la biologie des deux principaux pollinisateurs Mystrops costaricensis et Elaeidobius subvittatus sont décrites ainsi que leur influence respective sur la formation des régimes. On a également défini toutes les interactions existantes entre les différents facteurs biotiques qui sont étroitement liés les uns aux autres et qui modifient, suivant les lieux, l'efficacité de la pollinisation. En conclusion on peut apprécier que dans certaines zones géographiques les insectes locaux sont suffisants pour assurer un pourcentage correct de formation des fruits alors que dans d'autres régions il semble nécessaire d'introduire de nouvelles espèces comme E. kamerunicus afin d'améliorer la pollinisation

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Bibliographic Details
Main Authors: Genty, P., Garzon, Arturo, Lucchini, F., Delvare, Gérard
Format: article biblioteca
Language:spa
Subjects:F30 - Génétique et amélioration des plantes, Elaeis guineensis, pollinisateur, Elaeidobius kamerunicus, pollinisation, insecte utile, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_2509, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_6074, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_27190, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_6073, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_8116, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_7971,
Online Access:http://agritrop.cirad.fr/399737/
http://agritrop.cirad.fr/399737/1/document_399737.pdf
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Summary:Le présent travail fait le point de la situation de la pollinisation du palmier à huile en Amérique tropicale. La morphologie et la biologie des deux principaux pollinisateurs Mystrops costaricensis et Elaeidobius subvittatus sont décrites ainsi que leur influence respective sur la formation des régimes. On a également défini toutes les interactions existantes entre les différents facteurs biotiques qui sont étroitement liés les uns aux autres et qui modifient, suivant les lieux, l'efficacité de la pollinisation. En conclusion on peut apprécier que dans certaines zones géographiques les insectes locaux sont suffisants pour assurer un pourcentage correct de formation des fruits alors que dans d'autres régions il semble nécessaire d'introduire de nouvelles espèces comme E. kamerunicus afin d'améliorer la pollinisation